Je n'arrive pas à oublier cette douce amitié et cette délicieuse douleur. Ces bons sentiments, cette façon de les cacher pour mieux les chérir, cette complexité d'une beauté incomparable, ce ruisseau secret. Je ne les oublis pas mais est-ce suffisant...?
Alors que j'y pense encore, peut être que ce n'est déjà plus la peine...
Que même si je parlais maintenant, ça ne changerait rien...
Que de toutes façons, quelqu'un d'autre lui apporte ce dont elle a besoin et que l'on peut m'oublier...
Allons, mon ego, souviens toi de cette douleur et de cette douceur. Allons, il faut pleurer pour les savourer. Allons, mon ego, on ne sera jamais plus comme avant.
Allons, malgré ces blessures, veillons sur elle.
Allons, ne l'oublions pas...
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